CHRONIQUE – De toute évidence cette guerre plombe l’Europe alors qu’elle bénéficie aux États-Unis, mais paradoxalement aussi à Poutine.

Critiqué, voire insulté pour ses propos sur la guerre en Ukraine par tout ce que le pays compte de grandes consciences morales (et Dieu sait qu’il n’en manque pas…), Nicolas Sarkozy n’en a pas moins dit, dans son entretien accordé au Figaro Magazine, un certain nombre de vérités avec une liberté de ton qui tranche sur le conformisme ambiant. Pour commencer, il a bien sûr rappelé que l’agression russe violait le droit international mais que pour autant, si on voulait sortir d’un conflit qui s’annonce aussi interminable que meurtrier, il fallait comprendre trois choses.

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