En marge de fermeture de gisements de pétrole et de gaz en Libye, des conflits » internes » autour de la gouvernance de la banque centrale et des institutions financières libyenne, les défis économiques et sécuritaires dans la region se compliquent.
La Tunisie, l’Algérie et les pays du Sahel africain ainsi que leurs partenaires mondiaux sont directement touchés.
Les nouveaux « enjeux » et conflits auront plus d’impacts sur tous les pays de « voisinage » ainsi que sur leurs partenaires géo stratégiques du « Nord » et de « l’est ».
Un des grands discutés à Ankara, à l’occasion de la première visite du président Égyptien Sissi, est le « dossier libyen » ainsi que les crises dans les « pays du Maghreb, du Sahel et Sahara african ».
Ce sommet entre Sissi et Ordaghan confirme l’existence d’une « volonté à très haut niveau » pour une meilleure coordination régionale et internationale entre Le Caire et Ankara, vu l’aggravation des conflits en Libye et dans son voisinage entre leurs « alliés » politiques et militaires, notamment entre les forces du General Khelifa Haftar et leurs alliés d’un côté, et celles du gouvernement de Tripoli de l’ autre.
Ce sommet Turco Égyptien arrive au moment Alger hausse le temps contre Haftar et ses alliés ainsi que contre « l’ingérence de plus en plus inquiétante » en Libye au Mali, au Niger et dans toute la région » de »milices « loyales à Ankara, à Tehran, à Paris et Moscou….
D’ailleurs le secrétaire général du ministère des affaires étrangères algériennes et d’autres diplomates algériens ont été chargé de » missions diplomatiques » dans ses capitales de pays » amis « et » alliés stratégiques « …
Les médias proches du gouvernement le confinement. Pour contrecarrer les » tentatives de « déstabilisation de l’Algérie et son voisinage Arabo Africain », des responsables et journalistes algériens accusent les troupes du général Haftar et leurs alliés égyptiens, du Wagner et dans l’alliance « néo coloniale et sioniste » ainsi que les « terroristes en Libye et dans les pays de la région ».
Es ce un simple changement de vitesse, lié à la « campagne électorale » du scrutin du 7 septembre ?
La région est t_ elle sérieusement menacée ?
Comment devrait agir la Tunisie dans cette nouvelle conjoncture qui risque de compliquer ses problèmes financiers, socio économiques et securito militaires.
Ses échanges officielles et informelles avec la Libye et l’Algérie garantissaient sa stabilité et risquent de chuter.
Que faire ?
Le nouvea gouvernement de Kamel Maddouri doit agir vite, avec un soutien très fort de Carthage.
Les nouveaux ministres des affaires étrangères, de la défense, de l’intérieur et de l’économie devrait multiplier leurs « initiatives » et déplacements, avec une « plan d’action » qui servira aussi bien les intérêts de l’état tunisien que ceux des millions de citoyens tunisiens et maghrébins qui ont besoin de « plus de coopération et de partenariat » et non de « nouveaux conflits ».
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Relations étrangères de la Tunisie : Quel nouveau équilibre entre les « alliés » et les « amis »? .. Par Kamel Ben Younes
+ La diplomatie au service des » intérêts nationaux »
Juste après le grand nouveau remaniement ministériel annoncé dimanche dernier, on a commencé à assister à » une nouvelle dynamique « .
Une délégation irakienne présidée par le chef du gouvernement irakien ainsi qu’ une délégation américaine présidée par le patron de Africom ( Forces américaines en Afrique) visitent Tunis et entament des réunions de travail aux palais de Carthage, à la Kasbah et respectivement aux sièges des ministères de souveraineté ( défense, affaires étrangères…)
Le nouveau ministre de la défense, l’ambassadeur Khaled Shili et ses assistants ont eu des entretiens pour confirmer « la coopération bilatérale entre les deux pays » alliés » en Afrique et dans toute la région.
L’ambassadeur américain à Tunis J. Hood, avait eu droit à une séance de travail au ministère de l’intérieur pour discuter la coopération sécuritaire et militaire entre les deux pays, notamment après la création d’un grand centre de formation de militaires et de policiers à En fidha, au Sahel et les renforts des centres maritimes de Bizerte et des mécanismes de contrôle des frontières terrestres et maritimed avec les voisins africains et sud Européens.
La nomination de 3 éminents ambassadeurs à la tête des ministères de la défense et des affaires étrangères confirme une volonté de mettre « la diplomatie au service des intérêts nationaux » du pays.
Ce choix a été bien accueilli par les pays frères, les » alliés » et les » amis ».
Le nouveau ministre des affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, ambassadeur et diplomate de carrière, a été vite félicité par plusieurs capitales.
D’ailleurs il a inauguré ses contacts par des réunions, au siège du ministère, avec les ambassadeurs d’Algérie et de l’Arabie Seoudite, c’est à dire avec les 2 pays les plus impliqués au financement direct du budget de l’état tunisien.
Confirmant une volonté de « diversification des partenaires régionaux », le nouveau ministre diplomate a eu un entretien avec ses homologues marocain Naceur Bourita, algérien Ahmed Attaf et libyen Tahar Baour..
C’est un bon démarrage.
Les ministres Mohamed Ali Nafti et Khaled Shili ainsi que le secrétaire d’état des affaires étrangères, Mohamed Ben Ayed, pourraient renforcer les chances d’améliorer le niveau de coopération économique, sécuritaire et militaire avec les pays « alliés » ( les USA et ses alliés de l’Otan et les pays du monde Arabo africain ) ainsi qu’avec les « amis », y compris les pays asiatiques, dont la Chine, la Russie, la Turquie et l’Iran…
La grande expérience des 3 ambassadeurs nommés au gouvernement de Kamel Maddouri pourrait relancer » une diplomatie de convergence d’intérêts ».
Encore une chance pour eux, le nouveau chef du gouvernement est lui même un grand expert dans les relations internationales depuis ses études universitaires en France et en Tunisie.
Il avait enrichi son expertise lorsqu’il était dans les équipes gouvernementales qui avaient mené les négociations avec le partenaire européen sur les programmes de partenariat, l’élargissement de l’Union Européenne et les politiques de voisinage.
Il avait aussi une longue expérience avec les instances internationales et régionales du travail, où les instances gouvernementales ainsi que les syndicats des patrons et des ouvriers sont représentés.
Ainsi la « diplomatie économique » pourrait appuyer la « diplomatie militaire et sécuritaire » ainsi que les actions multi dimensionelles et multilatérales du ministère des affaires étrangères.
Cependant il faudrait éclaircir les positions et les objectifs du gouvernement et de sa diplomatie avec tous les partenaires et les responsables des pays « alliés » ou « amis ».
La diplomatie signifie le « pragmatisme ».
Elle doit donner la priorité à servir les intérêts du peuple et due l’état en renforçant les investissements et le partenariat avec tous les pays du monde, quelques soient leurs divergences et convergences conjoncturelles ou structurelles.
Toutefois ,il faudrait transmettre un message clair aux « alliés historiques », dont l’Europe et Washington, que la Tunisie et ses partenaires Arabo africains et asiatiques, ont aussi droit à renforcer leur coopération avec d’autres pays « amis », y compris la Chine, la Turquie, l’Iran, la Russie, les pays du Brics ou de l’alliance de Shanghai…
D’ailleurs les plus grands partenaires des grandes entreprises multinationales chinoises et asiatiques sont des firmes américaines et européennes et pro occidentales.
Pourquoi alors parler d’une « inquiétude » de la part de certains diplômates occidentaux, car la Tunisie et certains pays du sud ont exprimé une volonté « diversifier partiellement » leurs échanges et partenaires.
Le pragmatisme servira les intérêts de tous Led pays, y compris ceux du « Sud ».
Diversifier les pays « amis » est un droit surtout lorsque les pays « alliés » multiplient leurs investissements directs et indirects et les projets mixtes dans les pays dits « l’axe du mal ».
Encourager la modération et les débats est toujours suggéré, y compris avec les pays membres de l ‘UMA , de la Ligue arabe, de l’union Africaine et de l’ L’OIC ( l’organisation des pays de la Cooperation Islamique)…
La croisade africaine de Giorgia Meloni .. PAR MONCEF GOUJA
Chaque fois qu’on annonce l’arrivée à Carthage de la belle Giorgia Meloni, la toile tunisienne s’enflamme et ses photos avec notre président de la République inondent les réseaux sociaux, comme pour une star. Pourtant, ses trois allées et retours Rome-Tunis en l’espace de trois mois sont loin d’êtres innocents ! Certains pensent qu’elle nous ne veut pas que du bien.
La prochaine arrivée est annoncée pour ce 17 avril au matin, parce qu’elle sera l’après-midi à Bruxelles où se tiendra la réunion de Conseil européen les 17 et 18, pour décider du sort des relations entre les deux rives de la Méditerranée, car ce conseil entérinera un accord entre États européens sur la sécurité des frontières méditerranéennes de ce continent, “menacées” par ce que certains politiciens européens appellent “l’invasion barbare” ou “le péril noir” s’agissant du flux migratoire venant de l’Afrique subsaharienne. Nous convenons toutefois que la première victime de ce flux est bien notre pays, vient ensuite l’Italie dont les frontières sont les plus proches de nous.
Le tsunami migratoire
Est-ce le hasard qui a fait que juste cette première semaine d’avril 2024, plus de 8 000 migrants africains accostassent sur les rivages italiens en provenance de la Tunisie, c’est-à-dire deux semaines avant la décision attendue du Conseil européen, qui va imposer des sortes de postes frontières pour braquer les expulsés du paradis européen mais sur le sol d’autres pays non européens. Des sortes de no-man’s land, où on maintiendra les Subsahariens, souvent sans papiers officiels, sans ressources et sans revenus pour des séjours illimités, pourvus qu’ils ne restent pas en Europe.
On n’arrête pas un tsunami migratoire avec de telles mesures imaginées par des bureaucrates de Bruxelles. Certains parlent de “durcissement” de la législation européenne en matière de politique migratoire, un euphémisme, alors qu’il s’agit plutôt d’une violation flagrante des droits de l’Homme et des plus élémentaires règles de la charité chrétienne. C’est un précédent dans l’histoire de l’humanité ! L’Occident européen ne croit et n’applique les principes des droits de l’Homme, pourtant universels et reconnus par l’ONU, que quand ils ne rentrent pas en contradiction avec ses intérêts vitaux et ce qu’il considère comme sa “sécurité” .
Nous avons constaté combien il est attaché à ces droits à l’occasion du génocide de Gaza commis par son allié, l’Etat d’Israël.
La décision de l’Union européenne concernant l’installation de ces “zones d’accueil” de centaines de milliers de Subsahariens qui seront parqués comme des bêtes dans ces nouveaux camps de concentration, pour des périodes indéterminées, est une honte qui fera date dans l’histoire de cette Union.
Mais pour que la pilule soit bien avalée par les supposés défenseurs des droits de l’Homme en Europe, on doit passer par des plans comme celui imaginé par la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, intitulé “Plan Mattei” du nom du célèbre fondateur de la compagnie pétrolière italienne, qui consacre 4 milliards d’euros sur quatre ans pour “développer” les pays africains et nord-africains sous formes d’aide au développement, à condition d’accepter sur leurs sols l’installation de ces camps de la honte. En fait, une bagatelle ! La Tunisie figure en bonne place dans ce plan, ce qui explique les multiples voyages de la présidente du Conseil italien en si peu de temps.
Pour mieux comprendre cet “engouement” pour l’Afrique et particulièrement pour notre pays, rappelons que Giorgia Meloni est arrivée au pouvoir grâce à une coalition de l’extrême droite italienne, qui, comme toutes les formations européennes du même genre, prônent un durcissement extrême des politiques migratoires, allant jusqu’à l’expulsion de millions de non Européens, résidant dans ce continent, au détriment des principes universels des droits de l’Homme, des lois régissant les accords entre Etats, et surtout au détriment des différentes économies nationales européennes, qui ont grand besoin de cette main-d’œuvre bon marché et docile, en plus du problème démographique causé par la dénatalité dans ces pays.
Selon plusieurs études sérieuses, l’Europe aurait besoin dans les années qui viennent de près de 30 millions d’ouvriers ou de techniciens et même de médecins, infirmiers informaticiens… Mais les enjeux politiques et notamment la montée de l’extrême droite xénophobe et raciste poussent les partis centristes et même de gauche à durcir leurs positions et glisser vers des attitudes et des politiques anti-immigrés.
L’Italie actuelle est un bel exemple qui illustre ce glissement. C’est donc essentiellement pour être réélue que la belle Giorgia fait du pied à la Tunisie, ainsi que les yeux doux pour nous faire accepter son plan Mattei. Nous ne savons pas jusqu’à maintenant si elle a réussi, car en dehors du fameux Mémorandum entre la Tunisie et l’Union européenne, signé le 16 juillet 2023, rien de concret n’a été fait.
Lire aussi : Tunisie-UE lancent un programme de 150 millions d’euros pour la relance économique
Un mémorandum n’engage que ceux qui y croient
Nous ne savons rien, par exemple du degré d’exécution du volet énergétique qui devait permettre à la Tunisie (particulièrement la région de Zarzis) de produire et d’exporter de l’hydrogène vert vers l’Italie, et ceci dès février 2024 !
Bien sûr un mémorandum n’est qu’un mémorandum et ne peut en aucun cas remplacer des accords en bonne et due forme négociés et signés ! C’est peut-être la raison de cette visite impromptue le jour même où elle doit assister au Conseil de l’Europe, car Meloni considère l’accord avec la Tunisie comme l’exemple à suivre pour d’autres accords avec d’autres Etats africains.
Mais, restons sceptiques quant aux résultats réels sur le terrain. Déjà les 8 000 migrants qui ont débarqué à Lampedusa venant des rives tunisiennes en disent long sur l’applicabilité de certains accords de type sécuritaire. Sauf que Meloni a besoin de ces accords, car elle affronte, elle et ses amis, les élections européennes de juin 2024, sachant qu’elle a organisé un sommet Italie-Afrique les 28 et 29 juin 2023 à Rome, et la Tunisie était bien représentée par notre président de la République en personne.
Il est clair que l’Italie de Meloni tente de ravir la place qu’occupait jadis la France en Afrique et essaye de devenir le premier interlocuteur européen de l’Afrique. Ses discours anticolonialistes, qui font porter à la France en particulier la responsabilité de la situation du sous-développement dans laquelle se trouvent la majorité des pays africains dits francophones, prouvent cette tendance italienne qui a toujours existé depuis plus d’un siècle et demi. Mais ses accords énergétiques avec notre voisin de l’Ouest prouvent que l’Italie tente sérieusement de se placer comme le principal intermédiaire énergétique, en gaz et en pétrole entre l’Afrique et l’Europe, sans parler de sa présence en Libye.
Mais comme il y a un siècle et demi, lors des fameuses rivalités franco-italiennes pour coloniser à l’époque notre pays, la question de souveraineté reste toujours posée, même sous d’autres formes. Allons-nous céder, même une parcelle de souveraineté, en acceptant ces fameux camps sur notre sol ?
Le discours ultra-souverainiste du président de la République nous pousse à penser le contraire, en plus de l’impossibilité matérielle et logistique d’honorer un tel accord, surtout que notre pays lui-même est assailli périodiquement par des fortes vagues migratoires.
On est loin d’être les seuls, l’Algérie, le Maroc et la Libye subissent les mêmes assauts qui vont d’ailleurs en grandissant. C’est presque une fatalité, due à notre histoire et à notre position géographique, surtout que l’Europe, encore une fois, fait preuve d’aveuglement stratégique, car nous sommes la principale digue qui jusqu’à maintenant la protège sans qu’elle paye le prix adéquat.
Même l’enveloppe annoncée de cent cinquante millions d’euros, lors de la signature de l’accord, reste extrêmement dérisoire. Il revient à la Tunisie officielle de renégocier durement les accords conclus et négocier encore plus durement les accords à venir. Mais il ne faut rien céder sur la question souveraine du territoire car, ce dernier est sacré et non négociable.
Déjà feu BCE avait refusé d’appliquer les accords d’ALECA pour le même motif sachant que son ex-Premier ministre, Youssef Chahed, avait donné son accord à Bruxelles pour avoir, à l’époque, le soutien de l’UE dans sa lamentable course à Carthage.
La signature du mémorandum avec nos partenaires européens ne doit pas nous empêcher de donner la priorité à notre sécurité nationale, car la situation chez notre voisin de l’Est est plus qu’alarmante, et la crise politique qui y sévit depuis la chute de Kadhafi risque de se développer vers des affrontements violents alors que le pays est divisé et risque de l’être encore plus en raison de l’affrontement prévisible entre Américains et Russes, qui va aller en grandissant au fur et à mesure que la guerre en Ukraine évolue vers un possible compromis profitable maintenant aux Russes en raison de leur supériorité militaire sur le terrain. La chose sera d’autant plus sûre si Trump l’emporte les prochaines élections américaines.
La question migratoire subsaharienne sera au cœur du conflit interne libyen. Déjà que Ras Jedir semble devenir un point stratégique pour le contrôle de la partie ouest et cela nous concerne directement. Sans évidement oublier la migration qui afflue du Niger via l’Algérie, qui déjà pose problème à ces deux pays.
Réduire cette question migratoire à des simples accords, ne ce serait-ce qu’avec l’UE, c’est commettre une erreur d’appréciation stratégique. Or plus que jamais nous avons besoin d’une vision stratégique qui prend en compte l’existence de ce danger, car il y va aussi bien de notre sécurité que de notre souveraineté.
Tunisie Libye : Treize ans après les révoltes des jeunes ? De nouveaux indices d’instabilité régionale .. Par Kamel Ben Younes
Tunisie / Algérie : Création d’un comité de développement et de modernisation des zones frontalières
Le ministre tunisien de l’Intérieur Kamel Feki et son homologue algérien Ibrahim Mourad ont signé un protocole d’accord pour créer un comité bilatéral chargé de développer et de moderniser les zones frontalières entre la Tunisie et l’Algérie.
Feki a expliqué que le mémorandum d’accord élèverait le niveau de vie dans ces régions, et unifierait les efforts visant à renforcer les domaines de coopération et les relations d’intégration entre les deux pays frères.
Le ministre de l’Intérieur a également souligné que la stabilité et la sécurité de la Tunisie sont liées à la stabilité et la sécurité de l’Algérie, soulignant la nécessité de renforcer la sécurité dans les zones frontalières pour protéger les deux pays des menaces des groupes terroristes et prévenir les réseaux de contrebande.
L’ambassadeur d’Iran chez le ministre tunisien des Affaires étrangères
Le drame de la famille Eizenkot : le neveu de l’ancien chef d’état-major tué un jour après son fils
L’armée israélienne a autorisé la publication ce soir (samedi) que Maor Cohen Eisenkot, le neveu du ministre Gadi Eisenkot, avait été tué dans la bande de Gaza – un jour après que le fils de l’ancien chef d’état-major, le major (par intérim) Gal Meir Eisenkot, ait été tué. dans la bande de Gaza .