Dans cette interview que le quotidien a publiée dans son édition du 25 juillet, Tabboubi se dit s’inscrire en faux contre le projet de la nouvelle constitution qui institue, selon lui, un pouvoir présidentiel sans contre-pouvoirs.

Le leader syndicaliste rappelle le rôle historique et fondamental de l’Ugtt dans la lutte pour la liberté et souligne la culture d’ouverture et d’engagement pour l’instauration du dialogue qui ont toujours marqué l’action des syndicalistes. Il rappelle à l’occasion que l’attachement au dialogue a valu à l’Ugtt le prix Nobel [de la paix en 2015].

Tabboubi affirme que la Centrale syndicale n’a donné aucune consigne de vote [concernant le Référendum du 25 juillet]

Aucune description disponible.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *