La résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies exprime son inquiétude face à la rupture du cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario indépendantiste.

Le Maroc a proposé une large autonomie pour le Sahara occidental, mais le Front Polisario insiste sur le fait que la population locale a le droit à un référendum sur l’indépendance [File: Fadel Senna/AFP]
Publié le
29 octobre 2021
Le Conseil de sécurité des Nations Unies a prolongé d’une mission de maintien de la paix de l’ONU dans le Sahara occidental contesté, exprimant sa préoccupation face à la rupture du cessez-le-feu de 1991 entre le Maroc et le Front Polisario indépendantiste et appelant à une reprise des négociations dirigées par l’ONU.

Le vote du vendredi était de 13-0 avec l’abstention de la Russie et de la Tunisie.

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Quelques après la nomination d’un nouvel envoyé de l’ONU au Sahara Occidental, le diplomate chevronné Staffan de Mistura, la résolution appelait « les parties » à reprendre les négociations « sans conditions préalables et de bonne foi » à la recherche d’ une « politique juste, durable et tout à fait acceptable ». Solution”.

La résolution d’appel à un objectif « d’autodétermination du peuple du Sahara occidental », une phrase qui, selon les diplomates, a été ajoutée par les États-Unis à la demande de la Russie, qui aurait pu opposer son veto au texte.

La résolution « réaffirme également la nécessité du plein respect » d’un cessez-le-feu qui s’est effondré l’année dernière.

Le Maroc a proposé une grande autonomie pour le Sahara occidental. Mais le Front Polisario insiste sur le fait que la population locale, qu’il estime à 350 000 à 500 000, un droit à un référendum.

L’Algérie soutient le Front Polisario en quête d’indépendance et a rompu en août les relations avec le Maroc, qui contrôle près de 80% du territoire aride et peuplé contrôlé par l’Espagne jusqu’en 1975.

Les pourparlers en table ronde ont eu lieu pour la dernière fois début 2019 et ont réuni le Front Polisario ainsi que le Maroc.

L’Algérie s’oppose à une reprise des pourparlers, le Polisario se considérant comme un mouvement de libération qui devrait négocier directement avec Rabat.

« Limiter l’escalade »
L’envoyé de la France à l’ONU, Nicolas de Rivière, a déclaré que l’effort de maintien de la paix de l’ONU, connu sous le nom de Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO), restait vital dans des conditions de sécurité incertaines.

“Plus que jamais depuis la rupture du cessez-le-feu, cette opération joue un rôle essentiel pour limiter les risques d’escalade et apporter la stabilité dans la région”, at-il déclaré.

La mission américaine de l’ONU a demandé le renouvellement du mandat, affirmant que sa priorité était de « relancer un processus politique crédible menant à une solution durable, digne et soutenue internationalement ».

Le Kenya, l’actuel président du Conseil de sécurité, a exprimé l’espoir que la mission de l’ONU pourrait éventuellement organiser un référendum, affirmant que c’était le droit de chaque nation anciennement colonisée.

“Nous devons être honnêtes et admettre que cet objectif est obscurci et frustré”, a déclaré la mission kenyane dans un communiqué.

La MINURSO a été créée par le Conseil de sécurité en 1991 dans le but d’établir un référendum entre l’indépendance et l’adhésion au Maroc.

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